La Cour Constitutionnelle de Kambou est incompétente toujours ad vitam aeternam

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L’incompétence perpétuelle de la Cour Constitutionnelle du Président Kassoum Kambou est un jugement d’opportunité politique. Pour valider la loi sy chérfienne scélérate qui a porté en épingle l’exclusion politique de citoyens burkinabè non jugés et donc jamais condamnés, les juges constitutionnels n’ont pas daigné recalé cette loi en raison même qu’elle est confiscatoire des droits civiques de Burkinabè. Quelle atteinte gravissime plus que le retrait des droits civiques est-elle alors, la pire atteinte aux droits constitutionnels des citoyens et subséquemment à la Constitution, le socle du droit, le consensus général pour régenter la vie de la cité ?

Il fallut que le CDP aille à Abuja pour obtenir l’invalidation de ce code électoral liberticide, scélérat et inutilement haineux parce que divisionniste des Burkinabè sur le sol de leurs ancêtres.  Mais, les revanchards n’ont que faire du respect du droit. Alors, à peine cette loi invalidée par Abuja, que le gouvernement des transmetteurs actionne les sy chérifiens pour sortir l’artillerie lourde, toujours contre les soutiens politiques du Président Compaoré et des membres de son parti, le CDP. La mise en accusation pour « attentat à la Constitution » que les putschistes ont suspendu (ça n’est pas l’attentat horrible) et haute trahison, toujours contre les mêmes. La raison du plus fort revanchard est en marche au Faso. Une opinion est-elle un crime ou même une tentative de commettre un crime ? Une option politique prise par un gouvernement légal et légitime est-elle un attentat ou une tentative d’attentat contre la Constitution ? A l’évidence non. Excepté au Burkina Faso de Zida et Sy Cherif. Surtout que ceux-là, sont les auteurs de l’incendie de l’Assemblée, actionnés par les forces sankaristes, les RSS et le putschiste de dernier recours, l’UPC. Somé Valère nous a édifiés sur ces multiples complots ourdis par lui-même, Roch Kaboré et Zéphirin Diabré et cette inquisition contre les libertés publiques.

Qu’est-ce que les citoyens ainsi jetés dans la gueule de l’arbitraire peuvent-ils faire ? Retourner à Abuja pour la Cour de Justice de la CEDEAO invalide encore cette histoire d’attentat contre la Constitution, contre l’esprit de quoi encore, encore et encore jusqu’à ce que la hautement politique Haute Cour de Justice dont l’avocat général est pressé contre la sérénité convenue du juge judiciaire,  cette cour où siègent des Ruecrates, non élus et qui tiennent en horreur les élections ouvertes et transparentes, commencent le jugement des Suppliciés de l’arbitraire des Transmetteurs. C’est la foire des arbitraires. Même les Yaards de Ouaga ne voient pas autant d’injustice en plein jour. Enfin, la Cour Constitutionnelle inclinée comme la Tour de Pise, viendra prendre acte pour retirer sur la liste des citoyens autorisés à  prendre part à l’élection présidentielle de 2015. Foutaise à la Yao N’dré !!!

La Transition du milliardaire illuminé Zida est lancé comme un train fou contre le Terminus en béton armé. Le Choc frontal va être inouï. Les survivants n’iront pas voir le Pasteur pour se confesser.

Redevenons frères, adversaires loyaux et patriotes pour la paix et la tranquillité démocratique au Burkina Faso. Attention !!!

Dieu sauve notre pays.

Une Citoyenne Burkinabe

Ouaga

Irresponsabilité au sommet du Faso

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Le Président de la Transition vient de se démettre par irresponsabilité avérée et incapacité notoire. Notre vaillante Armée dont le sens de l’honneur et du respect de la hiérarchie n’a jamais été démentie, vient de perdre son Commandant en Chef. L’Institution vient de constater, à son corps défendant, qu’elle ne dispose plus de Chef suprême conformément à la Constitution. Michel kafando l’a désavouée pour ne pas dire humiliée alors même que cette Armée, dirigée par des Généraux, des officiers, et composés des braves soldats du rang n’a jamais désobéi à son Commandant en Chef démissionnaire. Oui, effectivement il a démissionné de ses responsabilités et s’est caché derrière un comité des sages, hormis le juge Moussa Sanogo et l’Avocat Pacéré Titinga, est addictif aux perdiems. L’Armée lui demandait de jouir de ses prérogatives présidentielles que l’intérim lui confère, pour faire droit  à sa requête unanime de retrait de tous les personnels militaires des organes de la Transition. Kafando a trahi l’intérêt supérieur de la Nation qui reste la cohésion au sein des Armées, le respect de la hiérarchie et donc de la discipline militaire, et refus d’exécuter les consignes du Haut Commandement par la bande du Lt Colonel milliardaire Zida, désireux de devenir Général, sans en avoir le mérite.

Kafando a préféré abandonner ses responsabilités en rase campagne, incapable de trancher. Soit obtenir la démission séance tenante desdits personnels de l’Armée, soit les remettre à leur Institution d’origine pour emploi. Politiquement, depuis 1966, le Burkina Faso allait ainsi connaître une ère de jeu politique et démocratique démilitarisé. La Transition allait pouvoir dans le cadre des institutions tenues uniquement par des civils, rétablir la légalité républicaine. Kafando a préféré rester dans la logique des putschistes d’octobre : la militarisation du politique. La prévalence du principe de force que la minorité violente a établi. Désormais tous les arbitraires sont possibles. Une Chance historique est ratée par l’IRRESPONSABLE Kafando.

Kafando s’est débiné et a, soit disant coupé la poire en deux, là où son honneur et celui de l’institution militaire imposait de trancher dans le vif. Que devient une Armée sans son Commandante n Chef ? Elle doit impérativement s’en donner, un, d’autorité. Kafando a laissé le poste vacant, invitant l’Armée à y pourvoir. Que l’Armée qui n’a jamais désobéi s’offre dès lors le Commandant en chef de son choix, puisque la discipline et le respect de la hiérarchie ont foutu le camp avec ce pouvoir de zinzins.

Incapable d’incarner l’intérêt national, sitôt la loi d’exclusion invalidée, Kafando et ses soutiens militaires activent la mise en accusation des autorités légitimes et légales de l’ancienne majorité. Motif : attentat à la Constitution en son article 37. Or le même article assure la possibilité légale de sa modification. Même aujourd’hui encore. Pourquoi ? Précisément pour que Le MPP, coute que coute, tchogo, tchogo, remporte l’élection présidentielle au moyen de l’exclusion réintroduite par les poursuites. Gravissime Déviation de la Transition pour la partialité, le bidouillage des votes. Vive la raison du plus fort du moment au Faso piraté par des zinzins !!!

Finalement, il n’est pas possible de contenir cet état de non droit de se prévaloir de sa force, de sa cécité politique au service de la division des Burkinabè, de sa force de nuisance contre la paix et la stabilité de l’Etat, que par un autre principe de force. Le sort en est jeté !!!

Le diable ne change jamais sa façon éhontée de trancher !!!

Vive l’Armée soudée

Vive la République

Vive le Burkina Faso

Le Président Hollande sera à Cotonou. Viendra-t-il embrasser l’ « exemplarité démocratique burkinabè » dont il s’enticha depuis Paris ?

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Le Président Hollande de France a des yeux de Chimène pour les Ruecrates burkinabè. Monsieur Hollande taxe les insurgés et brûleurs d’Assemblée Nationale d’exemples démocratiques, seulement pour les Africains. Viendra-t-il vendre ce programme aux Béninois et au nouveau Premier Ministre, le Franco-Béninois, Lionel Zinsou ?

Ou plutôt, continuera –t-il, puisque c’est la porte d’à côté, à Ouaga pour récupérer ses soldats, inculpés de pédophilie aggravée sur de pauvres enfants burkinabè de moins de 5 ans ? Je reste convaincu que l’exemplarité démocratique dont il gratifiait les autorités de facto du Burkina le conduira à accepter que cette exemplarité démocratique produise la confiance judiciaire en lui pour que ses compatriotes soient jugés en terre démocratique africaine. A la limite entres démocrates parisiens bien- pensants et ruecrates burkinabè, adeptes de la pensée unique et des auto-complots pour reserrer les derniers boulons de la dictature tropicale, la courtoisie exige que l’on ne rue pas dans les brancards, ceux qu’on a adulés hier à paris. Les Burkinabè en retour se garderont bien de demander la démission de leur camarade social-démocrate en raison de son taux de popularité qui frise le ridicule.

A Paspanga la torride hier nuit, dans un cabaret, un ivrogne s’interrogeait à haute voix pourquoi le grand blanc ne viendrait –il pas à Ouaga pour jouir un peu de l’exemplarité démocratique aux fins de pouvoir mieux vendre cette précieuse marchandise aux Africains durant son séjour ? Ses amis ruecrates lui diront que le Tambour Sacré de Wemtenga, prédit son éclatante réélection si tant est qu’il consent à adouber et sacrer le Rococo comme le Président nommé du Faso en acceptant que tous les redoutables adversaires soient recalés par la Cour Constitutionnelle, toujours penchée à gauche, comme la Tour de Pise.

Maintenant que le Colonel Yacouba Zida complote contre Isaak Zida pour jeter l’honneur de ses camarades soldats aux chiens et à la vindicte populaire, obtenant ainsi le moyen de taire toutes contestations à la prolongation de son mandat de facto, que dira le Président français à ses nouveaux amis fascisants de Ouaga ?

Vraiment, nous avons été ahuris d’entendre que Hollande, un président élu et légal, se mette à défendre des détenteurs de mandat de facto sans exiger l’application, pleine et entière de la Constitution adoptée par référendum par le peuple souverain en 1991 et rangée au magasin des accessoires juridiques par la force brutale militaire de Zida-Barry.

Oser s’extasier devant un vieillard tenant un micro présidentiel comme preuve de maturité démocratique est surprenant voire décevant de la part d’un démocrate français, la France revendiquant orbi et urbi être la patrie des droits de l’homme. Mais les Burkinabè ne comptent que sur eux-mêmes, eux qui savent incarner l’intérêt général en tout temps et dont l’ancien Président démissionnaire, Blaise Compaoré, a éduqué aux exigences de respect de leur honneur.

Ces Burkinabè patriotes et républicains ont du ressort. Ils vont surprendre le monde.

Wait and see !

Comité des Patriotes et Républicains

Zogona

OU SONT PASSES LES VRAIS PASTEURS?

Evengile

À cause des erreurs de certains de ses prêtres et leaders (scandales pedophiles, blanchiment d’argent, immixtion dans la politique des etats …), l’Église   catholique a été critiquée sévèrement. Dans plusieurs contrées, les lieux de messe ont été désertés quand ils n’ont pas été abandonnés aux seules personnes du troisième âge. Dans la grande majorite, ce n’est pas parce que les fideles catholiques on perdu foie n leur religion mais ils ont deserte les eglises tout simplement parce qu’ils n’ont plus confiance aux institutions de l’egise. Ils preferent exercer leur foie en prive ou avec des groupes de parents et amis.

Enfoncée dans de profondes crises, l’Afrique a fini par ressembler à l’Europe du Moyen -Âge par la ferveur de ses populations dans la foi religieuse. On a assiste a la proliferation du phenomene des sectes et des eglises evangeliques dans plusieurs quartiers des vies Africaines rivalisant d’iddes pour attire les fideles a … “sauver”.  Dans certains milieux, les pasteurs africains rêvent de la re-évangélisation de l’Occident par l’Afrique. Les arrières-petits-fils des paysans animistes se proposent donc d’aller apprendre aux greco-romains et aux latins qu’ils avaient un Dieu.

Aujourd’hui cependant, la foi pentécotiste est rattrapée par l’histoire. Profitant de la peur des hommes devant l’incertitude, les pasteurs pentécotistes africains ont transverti le Saint-Esprit de Dieu. Ils en ont fait une technique psychanalytique pour un enrichissement inconsidéré. Les fidèles doivent dépenser la majeure partie de leurs revenus pour l’église, la famille devant se contenter des miettes, parce que le père comme la mère doit verser l’offrande et la dîme. Pire encore, le pasteur ne peut pas utiliser cet argent pour effectuer les dépenses courantes. Il exige de ses fidèles de participer à des cotisations spéciales pour l’achat du matériel de culte, la décoration des salles d’activités, la réparation des toilettes et du système de ventilation, l’assistance des jeunes couples à leurs préparatifs de mariage ou de la maternité, payer les frais relatifs aux visites des évangélistes ou aux voyages du pasteur senior, participer aux appels de fonds pour des dépenses spéciales, récompenser le pasteur pour avoir prononcé une prophétie prometteuse sur leur avenir individuel, financer la tenue des séminaires périodiques ou des conventions annuelles, contribuer à l’achat des immeubles de culte inscrit au nom du pasteur, etc.

Les pasteurs vendent aussi l’uniforme aux membres de la chorale et du protocole et des association des jeunes. Ils obligent les membres à acheter toutes les vidéos de leurs prédications, etc. On assiste à un véritable ratissage monté pour dépouiller entièrement les fidèles de leurs revenus. L’église pentécotiste devient le lieu qui consomme tout l’argent des foyers.

Bref, si pour les Africains, l’Église demeure un lieu où ils se confient à leur Dieu, les pasteurs pentécotistes, par contre, y voient une nouvelle forme de business. Mais, ça irait si ça s’arrêtait là bas.

Aujourd’hui les pasteurs sont de plus en plus à la base des divorces dans les couples. Si une femme est riche, le mari sera traitée de sorcier. La femme sera incitée à le chasser pour éliminer tout esprit critique, et le pasteur sera comblé des cadeaux onéreux, des bénédictions pour son onction. Plusieurs fidèles doivent s’endetter pour être en règle de contribution, d’abord parce qu’ils ont peur de manquer de bénédiction (prospérité, fécondité, etc…), ensuite parce que faute de cotiser, ils perdent la considération du pasteur.

Si une femme est belle, la jalousie du mari sera qualifiée de sorcellerie. Le pasteur lui demandera de prier pour avoir un mari que Dieu a prévu pour elle en Esprit. La promptitude à prier avec elle, pour ce faire, sera doublée. Le divorce interviendra et une relation extra conjugale sera consommée. Voilà où nous a amenés le mouvement pentécotiste africain.