DÉNONCIATION DE LA PARTISANERIE INSUPPORTABLE DE L’AMBASSADEUR DE FRANCE AU BURKINA FASO

L’ambassadeur de France au Burkina Faso, Son Excellence M. Gilles Thibault se comporte exactement comme un gouverneur colonial.

Non content d’avoir hébergé, formé et participé activement au côté des OSC instrumentalisées comme les officines à la solde de Sam’s K LeJah pour l’insurrection et l’installation de la rue-cratie au Burkina,Gilles-Thibault-624x272

Non satisfait du financement occulte des activités anti démocratiques et anti républicaines des Organisations soit-disant de la société civile non civilisées,

Monsieur l’ambassadeur de France à Ouagadougou, sous le fallacieux prétexte de promouvoir les intérêts culturels de sa douce moitié, même si cela doit conduire la concernée à se tromper de lit avec un membre éminent de rue-cratie ouagalaise, a en réalité financé les vandales qui ont incendié l’Assemblee nationale, le temple de la démocratie.

D’où vient-il, qu’après de tels forfaits contre la Démocratie et la République, l’individu ose encore faire du lobbying indécent en faveur du retour du rue-crate en chef M. Michel Kafando, l’obligé du MPP ? Doit-on comprendre qu’en hébergeant les manipulateurs du processus électoral comme les sieurs Roch Marc Christian Kaboré et Simon Compaoré et le sankariste bolchévique à l’ego surdimensionné comme le sieur Sy Cherif, le représentant de la France oofficielle veut rejouer le gouverneur colonial ?

Nous le dénonçons comme un vil manipulateur de la volonté populaire des burkinabè au profit d’une camarilla de fraudeurs et de pilleurs des deniers publics.

Nous exigeons de François Hollande, qui demandait des élections incontestables au Burkina Faso, de rapeler dare-dare le fakir blanc du MPP. Il ne représente ni les intérêts du peuple français, ni ceux du peuple burkinabè. M Thibault est une nuisance pour ces deux peuples amis, amoureux de la liberté et de la démocratie.

Vive l’amitié entre les peuples de France et du Burkina!

Vive la démocratie!

L’Association des Jeunes Démocrates de Bobo-Dioulasso

Le Président Hollande a perdu son pari sur le Burkina Faso

Recevant et adoubant son collègue du Burkina Faso, Michel Kafando, le Président français, François Hollande avait demandé des « élections incontestables » comme gage de stabilité politique d’ancrage démocratique. Pour François Hollande, l’ « exemplarité » du Burkina Faso l’était pour avoir fait bruler les institutions de la République et donc, il fallait maintenant des élections incontestables, oubliant d’ajouter, opportunément, qu’elles le seraient si elles étaient inclusives et transparentes. Or les élections de 2015 ne seront ni inclusives, ni transparentes, a fortiori démocratiques.

Hollande a perdu son pari tout comme celui d’inverser la courbe du chômage en France. Maintenant que les putschistes d’octobre ont décidé de piper les dés pour transmettre le pouvoir d’Etat à Roch Kaboré en excluant tous les candidats redoutables comme Eddie Komboïgo, Noël Ouédraogo et bientôt Yépinè Bassolé, Yacouba Ouédraogo et Salvator Yaméogo en raison uniquement de leur option politique de souscrire à la modification de l’article 37 querellé, les carottes sont cuites pour le progrès démocratique. Le Conseil Constitutionnel est une annexe du CNT sy chériffien, sankariste revanchard tenace qui tient absolument au bidouillage du processus électoral, minoritaires, comme ils sont.

La Transition échouée de Kafando-Zida, de connivence avec Roch Kaboré du MPP dont l’éligibilité est fortement contestée, cet élu avant la lettre et allié de la Conférence des Evêques, va où ? Exclure des adversaires politiques pour se prévaloir d’une légitimité en trompe-l’œil, est perçu au Burkina Faso par les opposants comme une déclaration sourde de guerre. La Transition burkinabè comme celle ivoirienne de Guéi hier file droit dans le mur, emportant la paix sociale avec elle, dans une allure folle tout en tricotant des textes au CNT comme si ce ramassis de délinquants politiques, bolchéviques attardés, avait droit de vie sur le Burkina Faso. La paix est aux enchères !

La CEDEAO a pris acte de l’engagement solennel de Michel Kafando de se conformer au verdict de sa Cour de Justice, l’instance sous-régionale suprême. Or Michel Kafando en laissant faire, hypocritement, soit disant parce que la Justice est indépendante, a menti. Il est désormais sans parole comme Gbagbo, sans honneur comme Zida qui a snobé la hiérarchie militaire. Le Président Maky Sall ne s’y est pas trompé. Il a entendu que les tambours de la ruine de la paix sociale tonnent au Burkina. Il nomme le Président Yayi Boni comme Médiateur. Pendant ce temps, les autorités françaises et la communauté internationale restent bouche bée. L’orage va –t-il éclater au Burkina Faso ? Il est acquis que les transitoires ont sacrifié la paix des braves et donc la réconciliation par leur renoncement au principe démocratique. Le bolchévisme n’est pas la démocratie représentative. Nous en avons désormais la preuve. La paix est hypothéquée gravement et l’instabilité politique est actée par une crise pré ou post électorale. Le cul de sac électoral et sectaire risque de noyer les acquis démocratiques du Président Compaoré.

Sanfo Abdoul Karim

70 564398

L’Ambassadeur de France dans son rôle de nouveau Commandant en Chef des Armées

1301445389_Militaires_2_BurkinaPauvre Burkina Faso !

L’honneur de tes armées a été bafoué par l’ancien Commandant en Chef, Monsieur Kafando. En attendant que l’Armée s’en donne un d’autorité. Issoufou du Niger se vante d’avoir appelé le Président Hollande pour lui dire que l’Armée Burkinabè n’a plus d’officiers capables de faire un Coup d’Etat. Donc la France en profite pour instruire son insolite candidat, non Burkinabè, de mener le bal masqué. Pensant que la colonisation est de retour pointe et ce nouveau Commandant en chef cale une rencontre avec certains officiers de notre Armée. La troupe demande le retrait de Zida. Et c’est normal au regard de la division et des mercenaires que Zida cherche à recruter pour frapper le Burkina Faso et ses enfants. Le vieillard diplomate s’est débiné en ne renvoyant que la cheville ouvrière de la technologie électorale concoctée par les experts ex fraude électorale, Salif, Simon et Barry avec la création ex nihilo de villages fictifs dans notre pays pour frauder avec la caution de

la France officielle, acquise à Roch Kaboré pour Kosyam. Tchogo, tchogo !

Villages fictifs habités par des électeurs fictifs ! Plus de vol d’urnes. Inventer des villages pour tricher ! Voilà le médicament. Pour que le complot ne soit pas éventré, le messager de Hollande met ses mains, lui-même dans le cambouis pour voler le vote en orchestrant la fraude massive. La France veut imposer Roch Kaboré par la fraude électorale. Aussi, sitôt un technicien de la fraude renvoyé le sieur du barrystan que le commanditaire français en embuscade se dévoile et demande à voir les officiers pour les amadouer, et à défaut, les menacer de CPI comme M’Ba, le démissionnaire. Espérons que ces officiers burkinabè ne trahiront pas la confiance que la troupe a mise en eux. Cette même troupe qui les a soutenus et ramenés quand les transitaires putschistes les avaient renvoyés comme de vulgaires pestiférés. Le sacrifice de la troupe pour ses officiers est brave. Ces officiers ne doivent pas trahir la troupe pour que le choix de la France s’impose à tous les Burkinabè.  Ce serait la pire trahison et de la troupe et de l’intérêt national. L’Armée subirait coup sur coup deux humiliations horribles : le blâme de Kafando, l’irresponsable et démissionnaire commandant en chef et la corruption menaçante que le père blanc brandit, contre notre intégrité, contre notre don de soi pour la patrie. Depuis quand, trahir son serment de défendre son pays, l’intérêt national et être solidaire de la troupe est une solution de sortie de crise ? La sortie de crise digne de l’honneur des Armées et de l’intégrité décisionnelle du Faso, c’est le départ de Zida et de ses compères. Un point, un trait.

L’Ambassadeur de France n’est pas le Préfet militaire du Burkina Faso.

Cette irruption flagrante dans nos affaires nationales est intolérable. Où est notre intégrité nationale? On espère que la France qui est toujours indexée dans la survenue du génocide du Rwanda ne se rendra pas coupable d’une autre guerre civile en Afrique en se mêlant des problèmes internes de nos pays. Maurice Yaméogo, notre premier Président avait dit qu’il ne confierait jamais la garde de sa case à l’enfant d’autrui. Il a vu juste. Pourquoi se faire conter leur pays par les enfants d’autrui qui poursuivent des intérêts inavoués ? Pourquoi les transitoires déboussolés et leurs commanditaires nationaux et étrangers aux abois veulent-ils cette reprise en main pour enfin réaliser leur exploit de tricheurs indécrottables?

Basta !

Irresponsabilité au sommet du Faso

images

Le Président de la Transition vient de se démettre par irresponsabilité avérée et incapacité notoire. Notre vaillante Armée dont le sens de l’honneur et du respect de la hiérarchie n’a jamais été démentie, vient de perdre son Commandant en Chef. L’Institution vient de constater, à son corps défendant, qu’elle ne dispose plus de Chef suprême conformément à la Constitution. Michel kafando l’a désavouée pour ne pas dire humiliée alors même que cette Armée, dirigée par des Généraux, des officiers, et composés des braves soldats du rang n’a jamais désobéi à son Commandant en Chef démissionnaire. Oui, effectivement il a démissionné de ses responsabilités et s’est caché derrière un comité des sages, hormis le juge Moussa Sanogo et l’Avocat Pacéré Titinga, est addictif aux perdiems. L’Armée lui demandait de jouir de ses prérogatives présidentielles que l’intérim lui confère, pour faire droit  à sa requête unanime de retrait de tous les personnels militaires des organes de la Transition. Kafando a trahi l’intérêt supérieur de la Nation qui reste la cohésion au sein des Armées, le respect de la hiérarchie et donc de la discipline militaire, et refus d’exécuter les consignes du Haut Commandement par la bande du Lt Colonel milliardaire Zida, désireux de devenir Général, sans en avoir le mérite.

Kafando a préféré abandonner ses responsabilités en rase campagne, incapable de trancher. Soit obtenir la démission séance tenante desdits personnels de l’Armée, soit les remettre à leur Institution d’origine pour emploi. Politiquement, depuis 1966, le Burkina Faso allait ainsi connaître une ère de jeu politique et démocratique démilitarisé. La Transition allait pouvoir dans le cadre des institutions tenues uniquement par des civils, rétablir la légalité républicaine. Kafando a préféré rester dans la logique des putschistes d’octobre : la militarisation du politique. La prévalence du principe de force que la minorité violente a établi. Désormais tous les arbitraires sont possibles. Une Chance historique est ratée par l’IRRESPONSABLE Kafando.

Kafando s’est débiné et a, soit disant coupé la poire en deux, là où son honneur et celui de l’institution militaire imposait de trancher dans le vif. Que devient une Armée sans son Commandante n Chef ? Elle doit impérativement s’en donner, un, d’autorité. Kafando a laissé le poste vacant, invitant l’Armée à y pourvoir. Que l’Armée qui n’a jamais désobéi s’offre dès lors le Commandant en chef de son choix, puisque la discipline et le respect de la hiérarchie ont foutu le camp avec ce pouvoir de zinzins.

Incapable d’incarner l’intérêt national, sitôt la loi d’exclusion invalidée, Kafando et ses soutiens militaires activent la mise en accusation des autorités légitimes et légales de l’ancienne majorité. Motif : attentat à la Constitution en son article 37. Or le même article assure la possibilité légale de sa modification. Même aujourd’hui encore. Pourquoi ? Précisément pour que Le MPP, coute que coute, tchogo, tchogo, remporte l’élection présidentielle au moyen de l’exclusion réintroduite par les poursuites. Gravissime Déviation de la Transition pour la partialité, le bidouillage des votes. Vive la raison du plus fort du moment au Faso piraté par des zinzins !!!

Finalement, il n’est pas possible de contenir cet état de non droit de se prévaloir de sa force, de sa cécité politique au service de la division des Burkinabè, de sa force de nuisance contre la paix et la stabilité de l’Etat, que par un autre principe de force. Le sort en est jeté !!!

Le diable ne change jamais sa façon éhontée de trancher !!!

Vive l’Armée soudée

Vive la République

Vive le Burkina Faso

22 CENSURE ET DELATION, LES DEUX MAMELLES DE L’APARTHEID ELECTORAL, ET DE LA DICTATURE BURKINABE !

kaf

21 juin 2015 : MORT DE LA LIBERTE D’EXPRESSION

En son alinéa 1er, l’article 68 bis du code électoral de la transition, en réalité « de circonstance », énonce, « Est interdite, quatre-vingt-dix jours avant l’ouverture de la campagne électorale, la couverture médiatique de toute campagne électorale déguisée. »

A l’alinéa 2 du même article, il est précisé que « Le cas échéant, toute personne ayant intérêt, peut saisir le Conseil supérieur de la communication (CSC) garant du principe d’égalité entre les parties en compétitions. »

Voir annexe ci-jointe

Voici donc formellement et clairement énoncés les deux principes hypocrites qui fondent les dictatures, les régimes d’exception et les « apartheids électoraux » !

D’abord on censure les manifestations des opposants et leurs droits de diffuser leurs idées, en particulier ceux qui contestent, à juste titre, la forfaiture que constitue ce nouveau code électoral, puis on incite à la délation auprès d’un Conseil bien peu supérieur de la communication qui a déjà, rappelons-le, interdit les émissions en direct sur les médias audio et audio-visuel, privés et d’Etat !

Que veut dire « campagne électorale déguisée » ?

La liberté d’expression n’est pas un déguisement !

rockiEn revanche on peut s’interroger sur les masques de «transitoires » que portent les membres du MPP de Roch Kaboré pour manipuler la transition à son avantage !

Quant à la délation, ce n’est pas vraiment nouveau… Le « ministre » auto-proclamé, Auguste Denise Barry, de l’administration territoriale de la décentralisation et de la sécurité, avait déjà encouragé à la délation rémunérée de personnes suspectes (le spectre est large), le jeudi 16 avril 2015, précisant, au sujet des arrestations arbitraires, que « tout le monde était concerné et que tout le monde pouvait se faire arrêter… ».

Et il y en a du monde derrière les barreaux de la transition… Selon notre évaluation il y aurait près de 300 personnes toujours détenues, arbitrairement et sans décisions judiciaires !

mar

LES SANKARISTES DEJA DIVISES !
SAINT-KARA N’A PAS FAIT DE MIRACLE…

Les Shadocks pompaient…

Les Sankaristes creusent !

A ce jour ils n’ont pas trouvé de pétrole et c’est bien dommage.

Ils auraient d’ailleurs eu plus de chance de trouver du pétrole que de trouver leur unité !

Il est vrai que les Sankaristes ne sont bons qu’en gestion morbide de cadavres.

Toutefois soyons juste, il existe une exception, celle de la « veuve » qui gère plutôt bien, depuis 28 ans, le trésor de guerre dissimulé à Montpellier !

Moins de 15 jours après le départ de la Madone Maryam, et l’unité proclamée des Sankaristes autour de Maître « Benêt » Sankara, qui est de la famille sans en être tout en étant, tout a volé en éclats.

Boukary Kaboré dit le lion, de la tendance sankaro-édentée, fait cavalier seul avec son Parti de l’unité nationale pour le développement (PUND),

Jean Baptiste Natama, un bébé Compaoré de la tendance sankaro-opportuniste avec sa Convergence pour la renaissance/Mouvement progressiste (CPR/MP) est déjà candidat,

Nana THIBAUD (rien à voir avec Gilles Thibault ambassadeur de France en sursis dit-on !!!) et son RDP (Rassemblement Démocratique et Populaire), de tendance sankaro-capitaliste, soutient Djibrill BASSOLE et le NAFA.

Cerise rouge sur le gâteau, le Front des forces sociales (FFS), du défunt Norbert Michel Tiendrébéogo se dit « n’être plus tenu par les résultats issus de la convention» …de l’unité !

Le CDS, l’Alliance des démocrates révolutionnaires (ADR), l’Espoir et de l’Unité d’action des Mouvements Sankaristes (URD/MS) – Morts de rire diraient les adolescents sur les réseaux sociaux – ont suivi le mouvement de la « désunité ».

J’en conviens c’est compliqué à suivre et cela donne le tournis, des maux de tête, mais c’est normal…Enfin chez les gens normaux, ce que ne sont pas les Sankaristes !

En fait l’unité des Sankaristes est comme la ligne de l’horizon, elle s’éloigne au fur et à mesure qu’on s’en approche !

En attendant ils creusent… et ils ont du pain sur la planche si demain ils doivent déterrer les centaines de victimes de leur idole !!!

Pour être plus réaliste, et pour « conscientiser » leurs erreurs, je leur suggère de modifier l’ex devise révolutionnaire

« La Patrie ou la mort, nous vaincrons » en

« La zizanie pour un mort, nous creuserons » !

FRANCE-AFRIQUE OR NOT ? C’EST BIEN LA QUESTION !

Encore un mot sur l’incohérence de ces gens, qui vilipendent tous les jours l’ex-colonisateur français, et se gargarisent à tous moments de l’anti France-Afrique, ils viennent de déposer une demande d’enquête parlementaire…Devinez où ?

A l’Assemblée nationale française bien sûr !!!

LE RSP NE SERA PAS DISSOUT…
UN NON-EVENEMENT !

Finalement, après mille et une tergiversations, insultes, accablements… le RSP (Régiment de sécurité présidentielle) est utile à la Nation, a reconnu Zida, le Premier ministre de la transition-forfaiture, et ce régiment ne sera pas dissout.

Quel acte de bravoure !

Quel vent !

Tout ça pour donner encore raison à Blaise Compaoré !

En fait un non-événement, puisque lors de son voyage aux Etats-Unis, où Zida avait en vain essayé de faire « passer la pilule » de la réforme électorale « excluante »…et faute d’avoir convaincu, il avait assuré aux Américains qu’il ne dissoudrait pas le RSP, garantie pour eux d’une relative stabilité et d’une protection anti-terroriste.

On s’interrogeait alors pour savoir qui allait dissoudre Zida !!! Aujourd’hui on le devine…

zid

Zida prépare sa retraite dorée et ménage ses « arrières » !

ENTRE GENOCIDE ET « ETHNISME »,
LA RESPONSABILITE DES PARTENAIRES OCCIDENTAUX,
ET FRANCAIS EN PARTICULIER, EST ENGAGEE !

Deux déclarations, très inquiétantes pour l’avenir, ont marqué la vie politique burkinabè ces semaines passées.

ETHNISME ET TRIBALISME

Il s’agit, tout d’abord, des propos irresponsables de l’éphémère et maladroit ancien ministre des affaires étrangères de Blaise Compaoré,

Ablassé Ouedraogo, passé avec la même incompétence dans le clan de l’opposition radicale et populiste qui, en réponse à Jeune Afrique à la question : « Quelles sont vos chances d’accéder au palais de Kosyam ? », a répondu qu’il avait trois « atouts » qui, selon lui, le distinguaient des autres candidats : « être mossi, être musulman, et enfin avoir eu une longue carrière dans différentes organisations internationales… ».

GENOCIDE

Ensuite ce fut au tour de Yamba Malick du MPP de Roch Kaboré d’appeler carrément au génocide le 10 juin lors d’une réunion au Marché central de Ouagadougou !

«Préparez vos fusils, vos munitions, vos couteaux pour accompagner Roch Kaboré à Kosyam. Le MPP, c’est la force… ».

Rien d’étonnant de la part d’un comparse de Salif Diallo dont tout le monde au Faso a connu, connait ou connaîtra, à ses dépens, les méthodes violentes et malsaines !

INDIFFERENCE DE LA « TRANSITION » ET DES PARTENAIRES INTERNATIONAUX

Que la « transition » n’ait pas réagi à l’égard de ses complices n’a rien d’étonnant !

En revanche que la France (mais y-a-t-il encore quelqu’un dans l’avion ?), l’Europe, les Etats Unis, la Francophonie, les institutions inter africaines n’aient pas réagi est pour le moins surprenant.

Demain, si l’exclusion et l’apartheid électoral sont maintenus, les violences seront hélas inévitables.

Qui sème l’exclusion récoltera la guerre et la contre-révolution !

Tout le monde versera alors des larmes de crocodile, mais il sera trop tard…

Volt’R

Ouagadougou le 21 juin 2015

 

Capture

LES TRANSITAIRES GALVAUDENT LE MOT PEUPLE

Le mot peuple dans tous les systèmes politiques concentrationnaires est dans toutes les sauces. Nos transitoires ne peuvent que s’en donner à cœur, eux qui confondent, peuple et rue, autorité de l’Etat et désordre, justice et chasse aux sorcières, scrutin démocratique et scrutin discrétionnaire MPP.

Sinon, le peuple est d’une vitalité pour tous les peuples du monde depuis les différentes révolutions, américaine et la française de 1789. La Révolution de 1848 est dite celle du peuple et les Burkinabè, peuple discipliné et patient, se sont épris aussi d’un évènement proclamé Révolution Démocratique et Populaire d’Août 1983.  Les insurgés payés et les autres, toujours désargentés, tentent de se rattacher à cet évènement comme à une légitimité. Alors, ils entonnent partout, la volonté du peuple, la loi du peuple, les exclusions voulues par le peuple que même quelques activistes comme le désinvolte inquisiteur national, Ibriga, professeur d’obscurités constitutionnelles, amoureux de Lénine, entonne. Le plus insupportable pour les républicains et les démocrates, c’est que le représentant de l’Oncle Sam au Faso, a mordu à l’hameçon des arnarcho-démocrates.

Dans une République, le peuple est le détenteur exclusif du pouvoir. Mais quand parle-t-on de peuple, puisque de lui seul découle la légitimité en raison du fait qu’il est le seul souverain. Les Révolutions au 18 ème ont érigé les vaillants peuples du monde en Souverains, là où les monarchies de droit divin, l’incarnaient. Mais la République, c’est d’abord, les valeurs de la démocratie, la souveraineté du peuple, l’égalité des citoyens et la liberté pour tous. C’est au nom de ces valeurs que Cicéron s’opposait à Jules César. Aussi depuis la conquête du suffrage universel, seul le vote libre, égal et secret permet de mesurer la volonté générale, majoritaire. Ce vote doit intervenir dans un processus électoral inclusif (ce n’est point le scrutin censitaire jadis en France ou discrétionnaire MPP en cours au Faso), transparent, équitable et crédible. C’est au bout d’un tel processus, que le juge constitutionnel peut valider ceci ou invalider cela parce que telle manœuvre frauduleuse aura été constatée, consignée par les observateurs, les partis politiques et par voie d’huissier commis par le plaignant.

Depuis quand a-t-on organisé un vote universel, transparent et équitable au Faso ? La dernière le fut pour l’élection du Président Blaise Compaoré, de l’ancienne législature et les municipales. Il est donc clair lorsqu’on est républicain, démocrate et de bonne foi, que la volonté majoritaire exprimée et sortie dans les urnes en 2010, violentée et renversée par les putschistes et poujadistes d’Octobre, est l’unique prise de poids de chaque coalition politique jusqu’à preuve du contraire. Personne ne peut aujourd’hui au Faso, se prévaloir de la volonté populaire. La République est morte, saccagée. Il n’y a pas de Président du Faso. Il n’y a qu’un Président de la Transition Révolutionnaire, imposé par les officines du doyen Ed. Ouédraogo et des comités chrétiens de base. La minorité révolutionnaire, dévorée et transie de vengeance, violente et révolutionnaire attardée, qui a pris le pouvoir par la force par l’organisation du désordre, est une minorité liberticide. D’ailleurs, elle viole la Constitution de 1991 pour mieux confisquer le pouvoir d’Etat en assumant sa vindicte abjecte.

La légalité républicaine est tout autre chose, chers compatriotes. La légalité républicaine est différente de l’arbitraire révolutionnaire. L’une est le produit du suffrage universel honnête et sincère tandis que l’autre est l’advenu d’une violente inouïe. Tôt ou tard, le Burkina Faso devra, pour renouer avec son passé de vaillance et de discipline, vaincre la peur des violents et Rétablir la légalité républicaine.

Bénéwendé Mahamoudou Kaboré

Bobo Dioulasso

MPP, VÉRITABLE PATRON DE LA TRANSITION!

Soulama

C’est « La » vérité à admettre sans faux fuyants, dans ce Burkina de la transition.

Une prise de conscience favorisée par les différents soubresauts vécus jusqu’ici, et dont l’accouchement a été possible grâce à la phase de convulsion que nous traversons depuis le 7 avril dernier, à la faveur du vote, puis de son adoption, de la loi modificative de notre code électoral.

Alors que nous aurions dû « tilter » dès le moment de l’interview accordée à Africa 24, dans l’émission « le Talk », par le SG du MPP Clément P. SAWADOGO, non, l’envie aveugle d’en découdre avec le régime déchu a altéré l’esprit de clairvoyance qui aurait pu permettre d’éviter le beau gâchis que nous venons de commettre.

Beau gâchis, parce que, vous le releverez au travers de la vidéo sur laquelle j’attire ici votre attention:

1) IL N’Y AURAIT PAS DE 30 OCTOBRE 2014 AU BURKINA, SI LES GÉNITEURS DU MPP N’AVAIENT PAS ÉTÉ MIS À L’ÉCART DE LA « MANGEOIRE » AU SEIN DU CDP, EN 2012.

Par voie de conséquence, la nature insurrectionnelle des événements d’octobre dernier naturellement s’en trouve remise en question!

Car même si des gens sans la moindre étiquette politique ont été des manifestants les 30 et 31 octobre 2014, les propos tenus par le SG du MPP Clément P. SAWADOGO dans le présent document audiovisuel, sont sans ambiguïté aucune sur la prédominance de l’intention qui a conduit à la commission des nombreuses exactions ciblées (pillages suivis d’incendies criminels de domiciles, de commerces, scènes de guérilla urbaine, etc…) relevées lors de ces deux journées de vive tension vécues par notre pays, dans sa capitale, Ouagadougou!

Sous l’instigation du MPP, la protestation du CFOP devant conduire au retrait pur et simple du projet de loi vivement disputé relatif à la modification de l’article 37 de notre Constitution, s’est transformée en un putsch, renversant le régime alors en place, pourtant démocratiquement établi!

L’on comprend du même coup pourquoi, d’emblée, en prévision du recours très prochain à la mise en oeuvre de l’alinéa 4 de l’article 25 de la charte africaine de la démocratie, des élections et de la bonne gouvernance, mais dans son acception totalement étriquée, il a été décidé, oui, que tous les membres de l’équipe actuelle de transition ne puissent aucunement participer aux institutions qui naîtront du retour à l’ordre constitutionnel normal, à l’issue de la présente transition!

La raison en est, et il faut le dire ici tout de go, que l’ordre ancien, mis en place par voie démocratique malgré ses tares décriées, venait d’être renversé de façon anticonstitutionnelle, un putsch maquillé en insurrection, qui fait que tous les membres de l’équipe dirigeante de la transition qui en a résulté, tombent sous le coup de l’alinéa 4 de l’article 25 de la charte africaine de la démocratie.

Wow! Sans conteste, la tactique offensive, en guise de moyen de défense, a été bien pensée par l’intelligentsia des frondeurs, appendices naturels ou circonstanciels du MPP!

Seulement, comme l’avait de son vivant averti, feu le Capitaine Thomas SANKARA: « On peut tromper une partie du peuple à un moment précis, mais on ne peut pas tromper tout le peuple, tout le temps! »

Parce que naturellement, passée l’euphorie de l’agitation post octobre 2014, forcément la lucidité finirait par nous gagner, pour nous interpeller sur le pourquoi et le comment de la situation transitoire actuelle!

Dans ce sens, la vidéo ci-dessous, remise au goût du jour hier par le jeune frère Lengha Fils, constitue du pain béni, dont on ne saurait se priver de scruter!

L’on y apprend alors par ailleurs que:

2) LA LÉGITIMITÉ DES 27 LONGUES ANNÉES DE RÈGNE DE Blaise COMPAORE, C’EST SUR LES GÉNITEURS DU MPP QU’ELLE A REPOSÉ, TANT QUE CEUX-CI ÉTAIENT TOUJOURS AUX AFFAIRES AU CDP.

Parce que, tenez-vous bien pour dit: LA LÉGITIMITÉ DU PEUPLE BURKINABE TOUT ENTIER, eh oui, APPARTIENT AU TRIO RSS!

Wow! Rien que ça!

Bien évidemment, l’on comprend pourquoi depuis l’entrée en dissidence des RSS, vis-à-vis de leur famille politique originelle le CDP, eh bien, le régime aujourd’hui déchu, qu’ils ont pensé et alimenté, en l’animant, est devenu subitement impopulaire, coupable de tous les maux de la terre! Rire.

Sérieux! Mais, de qui se moque – t – on?

Aujourd’hui sous la transition, les lieutenants d’hier des RSS au CDP sont traqués, coupables d’avoir commis des choses sous leur autorité directe, pendant que les répondants jouissent tranquillement de leur liberté!

Vive l’opération « mains propres »! N’est-ce pas, grand frère Ahmed Newton Barry? Rire.

L’on comprend parfaitement bien maintenant pourquoi, longtemps avant les événements d’octobre dernier, le premier vice-president du MPP, avertissait menacement qu’à l’accession du parti, au pouvoir, ses objecteurs ont intérêt à franchir nos frontières, pour se réfugier ailleurs!

Évidemment aussi, la victoire au quart de tour annoncée avec fracas, et défendue avec une si forte ferveur religieuse, se comprend maintenant sans trop de peine!

Ainsi donc, le MPP rusa pour récupérer le combat de l’opposition traditionnelle, à son propre compte!

C’est l’histoire du bourreau qui vole à sa victime, les bénéfices de son combat!

Rire, trop forts! Ils méritent d’être oscarisés, les RSS! Rire.

Alors, à bon entendeur: IDE KENG BALA (*)!

N.D.L.R: (*) = ALLONS SEULEMENT!, pour ceux qui ne parlent pas le mooré

BARRY EST LE VRAI PRESIDENT DE LA TRANSITION BURKINABE

Depuis que les insurgés et les militaires félons ont mis la IV République sens dessus sens dessous, les incongruités, bizzareries et zizanies à la Zida sont de nationalité barrystanaise. Le Barrystan est un pays sahélien qui, jadis, rayonnait tant que les jalousies de ses voisins du nigeri, du soudan et du mauristan se sont cotisé et mis les fonds à la disposition d’un belliciste impénitent nommé Salf, barrystanais lui-même, pour porter le glaive dans le sein de la mère patrie. Pour lui renvoyer l’ascenseur, ses voisins comploteurs lui assignèrent de brûler l’auguste assemblée des élus, de piller les enfants prospères aux fins de les ramener à zéro, de nommer le bien nommé Barry, Colonel président de facto mais derrière le rideau. Sa mission ? Détruire toutes les institutions représentatives de la population comme l’ancienne formation au pouvoir, les conseils municipaux, faire des conseils de ministres juste pour nommer comme exactement l’on nomme et tapote le cul des vaches à Dori pour mieux humer l’air des temps jouisseurs. Le Colonel est parti annoncer à ses compatriotes des bords de la lagune Ebrié que pour l’exercice de leurs droits constitutionnels à la présidentielle 2015, les carottes sont cuites. Voilà, un berger qui va à la lagune, au lieu d’offrir à boire abondamment à ses compatriotes du petit lait pour assouvir leur soif de participation aux élections, se dédit, se renie et renverse la calebasse ébrié remplie de colas de bienvenue. Droit dans ses bottes, il déclare que seuls les lèche-bottes sont les bienvenus à son meeting. Mêlée générale comme au Rugby. Ses hôtes lagunaires, courtoisie et amitié légendaire oblige, sont obligés d’envoyer deux cargos de policiers. Koutoubou yé ! Pourvu qu’on lui refile la note. Couard, il file à l’anglaise pour se cacher, protégé comme il l’était, dans l’enceinte du Consulat. 4 heures de débats houleux. Echec et mate !
Paradoxe des paradoxes, il retourne à Ouaga et ses obligés dont le sous-chef Zida accourt à l’aéroport pour l’acclamer. Attalaku ! Pour un échec ! Pourvu qu’on dise qu’il s’est passé quelque chose. Il est allé d’esclandre en esclandre pour finir, acclamé comme un héros, un bramogo vindicatif. Au Barrystan, on aura tout vu. Pas de respect de la hiérarchie militaire, pas plus pour les convenances diplomatiques. Y a –t-il un conseiller diplomatique dans ce pays ? Un chef de protocole ? Non. On s’en fout. La banalité rejoint l’historique. Moi je dis l’amateurisme, le désenchantement et la panique à bord régentent la vie au jour le jour au Barrystan. La cacophonie est désormais la symphonie dans le Burkina post- insurrectionnel.
Que fait le vieillard dans tout ça ? Le pauvre, il est rejeté au troisième rang du protocole barrystanais. Puisque son chef est Zida. Zida lui-même vénère Barry. Aussi, se rend-il, presto illico, à l’aéroport pour lui réaffirmer, sa loyauté indécrottable. Au retour, le vieillard lui rendra tout autant ses respects. Des us diplomatiques bâtards.
Paradoxe des paradoxes, ce jeu d’ombres désinvoltes dit plus sur leurs états d’âme que les semblants de sursaut de dignité que la TV barrystanaise diffuse. La question qui taraude l’esprit des braves Burkinabè, ridiculisés par les « hauts faits » de ces barrystanais, c’est de savoir qui commande Barry ? Salf commande Barry. Barry est le valet en chef du MPP qui est au pouvoir par des moyens anticonstitutionnels. Pauvre Faso, je pleure ton nom. Le MPP des perfides à la Salf t’ont zombifié, mon pays bien-aimé ! T’inquiète, je reviendrai pour te relever !

Les Patriotes

Le « principe de Gilles Thibault »…

thibaud

On connaissait le « principe de Peter » qui démontre que tout employé a tendance à s’élever à son niveau d’incompétence, il y aura désormais le « principe de Gilles Thibault », qui vient le compléter et qui implique de se réjouir de la destruction des symboles de la liberté, comme l’ambassadeur de France au Burkina Faso au sujet de l’incendie de l’Assemblée nationale,  l’a fait!

Cyber piratage de TV5MONDE

Attristé, terrorisé, atterré…

C’est un symbole de la liberté d’expression qui a été visé la nuit passée par les terroristes de Daesh, ceux qui se rapprochent, hélas, de Ouagadougou !

 

C’est aussi un symbole de la Francophonie dont TV5MONDE est un des vecteurs les plus représentatifs et des plus militants qui a été attaqué et affaibli sur toute la surface du globe.

Cette attaque n’a pas été faite par hasard !

Si c’est un message fort pour nos amis français, chez qui TV5MONDE a son siège, c’est aussi un avertissement pour tous les pays qui partagent notre langue et ses valeurs.

 

Déçus…

Nous sommes déçus car, en vertu du « principe de Gilles Thibault », nous attendions une déclaration de l’ambassadeur du Burkina Faso en France se réjouissant de cette cyber-attaque contre un symbole de la liberté d’expression.

 

Les rafles continuent…

arton64142

 

L’autocratique « transition » poursuit rafles, arrestations arbitraires, procès bidons à la « Mao », délations etc… à l’encontre des membres du CDP (parti de Blaise Compaoré) et de ses amis, dans un seul but celui de tenter d’empêcher la tenue du congrès du CDP, prévu en fin de mois, qui s’annonçait, et s’annonce toujours impressionnant !

Assita Ouattara, députée CDP et Karim Barro, maire de l’arrondissement 6, ont rejoint en prison le maire Salia Sanou et d’autres élus dont Seydou Sanou.

 

Redoutant le succès du congrès du CDP, les «transitoires » paniquent et usent de méthodes révélatrices, qui semblent, enfin, inquiéter les chancelleries.

 

Paniques dans les Ambassades…

Depuis trois jours les ambassadeurs résidents à Ouagadougou ont enfin décidé de s’inquiéter de la tournure des événements.

Manifestations anti-transition, attaque du CNT (l’assemblée pseudo- nationale forfaite), arrestations arbitraires, répressions d’une rare violence…

Manifestation quotidienne à BoboDioulasso, foyer de la contestation.

C’est probablement à l’initiative de l’ambassadeur de l’Union Européenne que cette concertation a été organisée.

L’ambassadeur de France (celui du « principe ») et l’ambassadeur des USA (le pays classé derrière le Burkina Faso du Président Blaise Compaoré en matière de liberté de la presse), semblent dépassés par les événements et surpris par leurs tournures.

 

Les mensonges aussi…

Il n’y avait que 10 manifestants à BoboDioulasso et le calme règne !

A en juger par cette photo, il y avait 200 CRS… pour 10 manifestants ?

 

Qui est le candidat de la France…

Voici la question récurrente du jour !

Au rythme où ça va, exclusion après exclusion, il restera peu de choix.

Ou Zida prendra le pouvoir d’une façon ou d’une autre,

ou il négociera avec le marionnettiste du MPP une amnistie pour ses forfaits et un poste à l’étranger (peut-être conseiller du président du Niger en remplacement de Salo Diallif).

 

Kabore candidat de Gilles Thibault…

Si on accorde encore un crédit à la politique étrangère de la France, c’est faux.

Thibault s’est « fendu » d’une conférence de presse pour expliquer que Kaboré n’était pas le candidat de la France.

C’est clair non ?

En fait non…

 

Kaboré n’est pas le candidat de la France, il est le candidat de « l’Internationale socialiste » …

Eh oui, le cadavre bouge encore comme disait le français et Secrétaire Perpétuel de l’Académie Française, Maurice Druon !

La ringardise ne tue pas, la preuve l’Internationale socialiste existe toujours, elle fut même extrêmement active dans la tentative de destruction de la Côte d’Ivoire aux côtés de Gbagbo.

Kaboré est d’abord le candidat de son marionnettiste Salo Diallif, puis celui du président du Niger et donc de l’Internationale etc…

Bien sûr le Président Hollande est socialiste, tendance libéralo-macron, l’ambassadeur de France est socialiste aussi (tendance ?), mais il y a un monde entre le PS et l’IS !

Et bien sûr la rumeur du jour…

Attention elle sera périmée après cette lecture !

Avec la complicité de leur « sponsor » nigérien, les transitoires intoxiquent à tour de bras pour tenter de justifier les arrestations arbitraires.

Bien entendu le Niger, témoin de bonne foi conseillé par Salo Diallif, confirmera tout !

Le trafic d’or dans des cercueils, découverts par le Niger car, bien sûr, les douanes burkinabè sont nulles…

Demain ce sera peut-être des diamants, de la drogue, de la noix de kola, des dvd pornographiques, en tous les cas ce ne sera pas de l’intelligence, ni du bon sens, la « transition » en manque trop !

 

Décidément, à côté des méthodes transitoires, Sankara et ses Tribunaux Populaires étaient des enfants de chœur !

31 octobre 2014 La Démocratie burkinabè est assassinée, tout va bien !!!!!!!!!

31 octobre 2014

La Démocratie burkinabè est assassinée,

tout va bien !!!!!!!!!

 

Capture

 

Un coup d’Etat violent, avec la complicité d’un Etat voisin, met fin à l’ordre constitutionnel,

La Constitution est suspendue pour être mieux violée ! L’ambassadeur de France Gilles Thibault se réjouit de la destruction de l’Assemblée nationale symbole de la démocratie et de la démission du Président démocratiquement élu Blaise Compaoré (à qui le Président Hollande avait proposé, par écrit, en mars 2014, le poste de Secrétaire Général de l’OIF), oubliant que les totalitarismes religieux détruisent les symboles culturels et que les totalitarismes politiques détruisent les symboles de la Démocratie !

Les chefs de partis politiques sont emprisonnés dans certaines casernes militaires,

Les mandats de tous les députés de l’opposition comme de la majorité, démocratiquement élus, sont annulés.

Tous les élus, nationaux, régionaux, communaux sont renvoyés chez eux et leurs mandats annulés !

 

L’épuration commence…

La « transition », chargée uniquement de préparer les élections fin 2015, sème la division, attise les haines, organise la « chasse aux sorcières »… et procède, toutes les semaines, à plus de 100 nominations !

 

Aujourd’hui le Burkina Faso c’est :

–         Une pénurie d’eau sur tout le territoire,

–         Des coupures permanentes d’électricités,

–         Un manque généralisé des biens de première nécessité,

–         Des capitaux qui désertent le Pays,

–         Des grèves généralisées,

–         Un PIB en baisse de près de 3 points en 4 mois,

–         Des projets de lois absurdes et sans intérêts qui menacent les libertés, même sexuelles,

–         Des arrestations arbitraires,

–         L’interdiction aux partis politiques qui furent proches de Blaise Compaoré de participer aux prochaines élections,

–         Depuis le 1er avril le Premier Ministre a annoncé son intention de réprimer toutes les manifestations…même celles non annoncées!

–         Des interdictions de sortie du territoire aux responsables politiques non soumis à la « transition »,

–         Une « épuration » des diplomates « mal-pensants »,

–         L’interdiction de voter aux Burkinabè de l’extérieur, au prétexte qu’on ignore s’ils voteront « bien » !

–         Une remise en cause des droits des femmes…

–         Le pays de fait n’est plus géré, et toutes les conditions sont, hélas, réunies pour favoriser les exactions externes des vautours islamistes qui veillent !