DÉNONCIATION DE LA PARTISANERIE INSUPPORTABLE DE L’AMBASSADEUR DE FRANCE AU BURKINA FASO

L’ambassadeur de France au Burkina Faso, Son Excellence M. Gilles Thibault se comporte exactement comme un gouverneur colonial.

Non content d’avoir hébergé, formé et participé activement au côté des OSC instrumentalisées comme les officines à la solde de Sam’s K LeJah pour l’insurrection et l’installation de la rue-cratie au Burkina,Gilles-Thibault-624x272

Non satisfait du financement occulte des activités anti démocratiques et anti républicaines des Organisations soit-disant de la société civile non civilisées,

Monsieur l’ambassadeur de France à Ouagadougou, sous le fallacieux prétexte de promouvoir les intérêts culturels de sa douce moitié, même si cela doit conduire la concernée à se tromper de lit avec un membre éminent de rue-cratie ouagalaise, a en réalité financé les vandales qui ont incendié l’Assemblee nationale, le temple de la démocratie.

D’où vient-il, qu’après de tels forfaits contre la Démocratie et la République, l’individu ose encore faire du lobbying indécent en faveur du retour du rue-crate en chef M. Michel Kafando, l’obligé du MPP ? Doit-on comprendre qu’en hébergeant les manipulateurs du processus électoral comme les sieurs Roch Marc Christian Kaboré et Simon Compaoré et le sankariste bolchévique à l’ego surdimensionné comme le sieur Sy Cherif, le représentant de la France oofficielle veut rejouer le gouverneur colonial ?

Nous le dénonçons comme un vil manipulateur de la volonté populaire des burkinabè au profit d’une camarilla de fraudeurs et de pilleurs des deniers publics.

Nous exigeons de François Hollande, qui demandait des élections incontestables au Burkina Faso, de rapeler dare-dare le fakir blanc du MPP. Il ne représente ni les intérêts du peuple français, ni ceux du peuple burkinabè. M Thibault est une nuisance pour ces deux peuples amis, amoureux de la liberté et de la démocratie.

Vive l’amitié entre les peuples de France et du Burkina!

Vive la démocratie!

L’Association des Jeunes Démocrates de Bobo-Dioulasso

22 CENSURE ET DELATION, LES DEUX MAMELLES DE L’APARTHEID ELECTORAL, ET DE LA DICTATURE BURKINABE !

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21 juin 2015 : MORT DE LA LIBERTE D’EXPRESSION

En son alinéa 1er, l’article 68 bis du code électoral de la transition, en réalité « de circonstance », énonce, « Est interdite, quatre-vingt-dix jours avant l’ouverture de la campagne électorale, la couverture médiatique de toute campagne électorale déguisée. »

A l’alinéa 2 du même article, il est précisé que « Le cas échéant, toute personne ayant intérêt, peut saisir le Conseil supérieur de la communication (CSC) garant du principe d’égalité entre les parties en compétitions. »

Voir annexe ci-jointe

Voici donc formellement et clairement énoncés les deux principes hypocrites qui fondent les dictatures, les régimes d’exception et les « apartheids électoraux » !

D’abord on censure les manifestations des opposants et leurs droits de diffuser leurs idées, en particulier ceux qui contestent, à juste titre, la forfaiture que constitue ce nouveau code électoral, puis on incite à la délation auprès d’un Conseil bien peu supérieur de la communication qui a déjà, rappelons-le, interdit les émissions en direct sur les médias audio et audio-visuel, privés et d’Etat !

Que veut dire « campagne électorale déguisée » ?

La liberté d’expression n’est pas un déguisement !

rockiEn revanche on peut s’interroger sur les masques de «transitoires » que portent les membres du MPP de Roch Kaboré pour manipuler la transition à son avantage !

Quant à la délation, ce n’est pas vraiment nouveau… Le « ministre » auto-proclamé, Auguste Denise Barry, de l’administration territoriale de la décentralisation et de la sécurité, avait déjà encouragé à la délation rémunérée de personnes suspectes (le spectre est large), le jeudi 16 avril 2015, précisant, au sujet des arrestations arbitraires, que « tout le monde était concerné et que tout le monde pouvait se faire arrêter… ».

Et il y en a du monde derrière les barreaux de la transition… Selon notre évaluation il y aurait près de 300 personnes toujours détenues, arbitrairement et sans décisions judiciaires !

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LES SANKARISTES DEJA DIVISES !
SAINT-KARA N’A PAS FAIT DE MIRACLE…

Les Shadocks pompaient…

Les Sankaristes creusent !

A ce jour ils n’ont pas trouvé de pétrole et c’est bien dommage.

Ils auraient d’ailleurs eu plus de chance de trouver du pétrole que de trouver leur unité !

Il est vrai que les Sankaristes ne sont bons qu’en gestion morbide de cadavres.

Toutefois soyons juste, il existe une exception, celle de la « veuve » qui gère plutôt bien, depuis 28 ans, le trésor de guerre dissimulé à Montpellier !

Moins de 15 jours après le départ de la Madone Maryam, et l’unité proclamée des Sankaristes autour de Maître « Benêt » Sankara, qui est de la famille sans en être tout en étant, tout a volé en éclats.

Boukary Kaboré dit le lion, de la tendance sankaro-édentée, fait cavalier seul avec son Parti de l’unité nationale pour le développement (PUND),

Jean Baptiste Natama, un bébé Compaoré de la tendance sankaro-opportuniste avec sa Convergence pour la renaissance/Mouvement progressiste (CPR/MP) est déjà candidat,

Nana THIBAUD (rien à voir avec Gilles Thibault ambassadeur de France en sursis dit-on !!!) et son RDP (Rassemblement Démocratique et Populaire), de tendance sankaro-capitaliste, soutient Djibrill BASSOLE et le NAFA.

Cerise rouge sur le gâteau, le Front des forces sociales (FFS), du défunt Norbert Michel Tiendrébéogo se dit « n’être plus tenu par les résultats issus de la convention» …de l’unité !

Le CDS, l’Alliance des démocrates révolutionnaires (ADR), l’Espoir et de l’Unité d’action des Mouvements Sankaristes (URD/MS) – Morts de rire diraient les adolescents sur les réseaux sociaux – ont suivi le mouvement de la « désunité ».

J’en conviens c’est compliqué à suivre et cela donne le tournis, des maux de tête, mais c’est normal…Enfin chez les gens normaux, ce que ne sont pas les Sankaristes !

En fait l’unité des Sankaristes est comme la ligne de l’horizon, elle s’éloigne au fur et à mesure qu’on s’en approche !

En attendant ils creusent… et ils ont du pain sur la planche si demain ils doivent déterrer les centaines de victimes de leur idole !!!

Pour être plus réaliste, et pour « conscientiser » leurs erreurs, je leur suggère de modifier l’ex devise révolutionnaire

« La Patrie ou la mort, nous vaincrons » en

« La zizanie pour un mort, nous creuserons » !

FRANCE-AFRIQUE OR NOT ? C’EST BIEN LA QUESTION !

Encore un mot sur l’incohérence de ces gens, qui vilipendent tous les jours l’ex-colonisateur français, et se gargarisent à tous moments de l’anti France-Afrique, ils viennent de déposer une demande d’enquête parlementaire…Devinez où ?

A l’Assemblée nationale française bien sûr !!!

LE RSP NE SERA PAS DISSOUT…
UN NON-EVENEMENT !

Finalement, après mille et une tergiversations, insultes, accablements… le RSP (Régiment de sécurité présidentielle) est utile à la Nation, a reconnu Zida, le Premier ministre de la transition-forfaiture, et ce régiment ne sera pas dissout.

Quel acte de bravoure !

Quel vent !

Tout ça pour donner encore raison à Blaise Compaoré !

En fait un non-événement, puisque lors de son voyage aux Etats-Unis, où Zida avait en vain essayé de faire « passer la pilule » de la réforme électorale « excluante »…et faute d’avoir convaincu, il avait assuré aux Américains qu’il ne dissoudrait pas le RSP, garantie pour eux d’une relative stabilité et d’une protection anti-terroriste.

On s’interrogeait alors pour savoir qui allait dissoudre Zida !!! Aujourd’hui on le devine…

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Zida prépare sa retraite dorée et ménage ses « arrières » !

ENTRE GENOCIDE ET « ETHNISME »,
LA RESPONSABILITE DES PARTENAIRES OCCIDENTAUX,
ET FRANCAIS EN PARTICULIER, EST ENGAGEE !

Deux déclarations, très inquiétantes pour l’avenir, ont marqué la vie politique burkinabè ces semaines passées.

ETHNISME ET TRIBALISME

Il s’agit, tout d’abord, des propos irresponsables de l’éphémère et maladroit ancien ministre des affaires étrangères de Blaise Compaoré,

Ablassé Ouedraogo, passé avec la même incompétence dans le clan de l’opposition radicale et populiste qui, en réponse à Jeune Afrique à la question : « Quelles sont vos chances d’accéder au palais de Kosyam ? », a répondu qu’il avait trois « atouts » qui, selon lui, le distinguaient des autres candidats : « être mossi, être musulman, et enfin avoir eu une longue carrière dans différentes organisations internationales… ».

GENOCIDE

Ensuite ce fut au tour de Yamba Malick du MPP de Roch Kaboré d’appeler carrément au génocide le 10 juin lors d’une réunion au Marché central de Ouagadougou !

«Préparez vos fusils, vos munitions, vos couteaux pour accompagner Roch Kaboré à Kosyam. Le MPP, c’est la force… ».

Rien d’étonnant de la part d’un comparse de Salif Diallo dont tout le monde au Faso a connu, connait ou connaîtra, à ses dépens, les méthodes violentes et malsaines !

INDIFFERENCE DE LA « TRANSITION » ET DES PARTENAIRES INTERNATIONAUX

Que la « transition » n’ait pas réagi à l’égard de ses complices n’a rien d’étonnant !

En revanche que la France (mais y-a-t-il encore quelqu’un dans l’avion ?), l’Europe, les Etats Unis, la Francophonie, les institutions inter africaines n’aient pas réagi est pour le moins surprenant.

Demain, si l’exclusion et l’apartheid électoral sont maintenus, les violences seront hélas inévitables.

Qui sème l’exclusion récoltera la guerre et la contre-révolution !

Tout le monde versera alors des larmes de crocodile, mais il sera trop tard…

Volt’R

Ouagadougou le 21 juin 2015

 

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LES BRULEURS DE L’ASSEMBLEE NATIONALE ET LEURS COMMANDITAIRES

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Qu’est que le patriote et républicain burkinabè peut ressentir relativement à cet incendie du Temple de la démocratie au-delà des lignes politiques partisanes ? Il y a d’abord, le fait qu’il est décontenancé, ébahi et effaré par le geste inqualifiable des pyromanes et leurs suppôts commanditaires du MPP. Un effarement face à une violence inouïe, injustifiée puisque le projet de loi disputé, était assurément, un compromis raisonnable et donc acceptable pour tous. Et que de ce fait, le respect des normes démocratiques était le tamis républicain nécessaire pour examiner cette loi. Or, dans une République, seule la représentation nationale est le lieu imprenable de la souveraineté populaire. Cette loi avait donc sa place sur la table du bureau de l’Assemblée Nationale. La démocratie, c’est le régime des conflits d’intérêt, des oppositions politiques, idéologiques et sociales. Nul n’est besoin de la voir comme l’anti-thèse du consensus qui rythme la vie de nos sociétés politiques traditionnelles africaines. Inviter ses frères, partisans comme opposants, à juger de la forme comme du contenu de la loi, à l’aune de l’intérêt général, c’est assurément, souscrire à la règle républicaine générale si tant est que ce processus d’interpellation pour l’émission des opinions diverses, est libre, équitable, ouvert et transparent. C’est attester de notre attachement viscéral à la légalité républicaine que le fait d’appeler les députés à voter. En cela, il n’y a point de viol de la légalité républicaine, même si, le juge constitutionnel peut retoquer cette loi s’il le juge contraire à l’esprit et à la lettre de la loi fondamentale. Ainsi fonctionnent les sociétés démocratiques ouvertes dans leur volonté générale de juguler, d’arbitrer, pacifiquement, leurs contradictions.

C’est tout le contraire que de se murer dans la vindicte, de préparer les citoyens à se soulever, pire, de les inciter à saccager les institutions de la république. Alors, pourquoi, ruiner la République, par la violence injustifiable, celle de la rue, si ce n’est pour faire prospérer le Coup d’Etat, comme moyen rapide de prendre le pouvoir d’Etat ? Certes, les opposants avaient le droit de transformer une question démocratique en un problème. Ce faisant, le choix démocratique, est celui de la légalité républicaine. Le Président Blaise Compaoré, garant de la Constitution de 1991,  y était tenu par sa qualité. Il honora cette charge avec responsabilité et sagesse afin que les forces démocratiques (ici les partis politiques) se mesurent entre elles, pacifiquement, pour trancher le contentieux politique. Les brûleurs et autres commanditaires vindicatifs ont jugé que leur heure macabre avait sonné. Par le feu, ils ébranlèrent la légalité républicaine au Burkina Faso pour ouvrir un cycle de turpitudes. Ceux-là, de même que leurs commanditaires du MPP, n’ont jamais compris que, dans la République, toujours et inlassablement, le sens régule la puissance de la force aveugle. Ce sens, il est déterminé par la légalité républicaine que restaure la justice comme la meilleure des institutions sociales du Faso. John Rawls, le politologue américain, qualifiait de vertueuse dans la Théorie de la Justice, son ouvrage phare, la justice tandis que la vérité était le criterium essentiel des systèmes de pensée.

Au Faso, le patriote et républicain burkinabè est un instituteur de la République. C’est le démocrate, l’amoureux de la sagesse, du vivre ensemble, le promoteur du règne de la loi, dure, fut-elle. Le rétablissement de cette légalité républicaine après cette rupture violente est un retournement, une nécessité qui rattrapera les citoyens burkinabè, tôt ou tard. Je souhaite que ce retournement de la nécessité républicaine, intervienne dans la voie de la conscience critique et de la confiance renouvelée entre les Burkinabè.

Boniface Tansoba Kaboré

Dédougou

QUAND LA TRANSITION EST COMPLICE DES IMPLANTATIONS DU MPP A BOBO

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Chers amis internautes, bonsoir.
Une certaine dame salamandre du nom de Safiatou Lopez s’est transformée en une vraie mécène du PM ZIDA et de Barry Auguste. J’espère qu’elle ne menace pas également les autres activistes de la liberté en inbox. Elle avance toujours des paroles du genre « Zida n’est pas content de toi » et encore « pour le salut de la mémoire des martyrs rejoins le peuple en mouvement ». Cochonnerie wèhhhh…
Certains aussi chantent que « le PM est sévère et il déteste les critiques ». De sources sures c’est vrai mais le PM n’est pas plus Burkinabé que moi. En plus de tout cela je ne mange pas sur la même table que les faux dignitaires de la transition. C’est eux qui souffent woooo.. Mdrrrrr.
Ces autorités de la transition doivent savoir que c’est le peuple libre, qui les a placé la bas. En plus un « ministre de la transition » est un « ministre de transition ». Évitez de faire l’amalgame de vos attributions (comme les conseillés du CNT se prennent pour de vrais députés élus mdrrrrr) pour vous déguiser en des citoyens « supers Burkinabé ».
La transition doit être impartiale et doit nous aider à faire la lumière sur les crimes de sang et les crimes économiques de l’ère Compaoré. Malheureusement les autorités de la transition se sont trouvés un nouveau « business »: Aider des partis politiques à s’implanter en troublant leurs adversaires. Elle va souvent jusqu’à vouloir diviser les militants de certains partis politiques comme la CPR, arrêter des leaders d’opinion de certain comme la NAFA, et le comble la transition bafoue les droits civiques de certains Burkinabé à l’image de Salia Sanou, en les incarcérant pendant des semaines sans audition, toute chose contraire à la procédure. Je m’attarde un peu sur ce dernier cas parce que depuis hier les nouvelles du Faso nous informent que le Monsieur a été transféré à Ouagadougou avec Karim Barro.
Interpellés et incarcérés à la Maison d’arrêt et de correction de Bobo-Dioulasso, Salia Sanou, Seydou Sanou et Karim Barro ont été transférés hier à Ouagadougou, où ils séjourneront désormais à la Maison d’arrêt et de correction de la même ville. Les raisons officielles de ce transfèrement n’ont pas été communiquées.
Les trois détenus de Bobo-Dioulasso dans cette opération partiale « mains propres » des autorités de la transition devraient être auditionnés ce matin même à Ouagadougou. Si on doit tenir compte de ce qui a été dit plus haut, on peut dire qu’ils n’ont donc jamais été auditionnés depuis leur incarcération.
De quoi accuse t-on Salia Sanou? De malversation financière, d’enrichissement illicite et de malversation dans ces histoires de lotissement (Super).
Je ne défens pas l’impunité, au contraire. J’ai jamais été dans le parti des assassins du CDP, je ne connais physiquement pas le DJ Salia Sanou donc ne voyez pas en cette publication un engagement partisan, mais plutôt un déni des montages politiques.
Le scenario est le suivant: Salia Sanou, quelqu’un qui a la grosse bouche (parle trop), est un maire qui a conquis Bobo Dioulasso par ses paroles terre à terre, sa proximité des populations et son appartenance à la région. Salia Sanou, selon mes sources, a destitué (vaincu) le phacochère Celestin Koussoubé grâce à l’appui de Salif Diallo, envoyé spécialement par le CDP la nuit du 22 avril 2006, la veille des élections municipales, pour corrompre en masse les leaders religieux et coutumiers de la ville de Sya. Ceci parce que Célestin Koussoubé avait quitté les rangs du CDP pour rejoindre l’ADF/RDA.
Salif aurait, après l’insurrection, adulé Salia Sanou pour rejoindre le MPP. Toute offre que Salia refusa. Le MPP connaissant bien la force politique du bavard Salia « ordonne » aux autorités de la transition d’arrêter le Sieur pour leur permettre de s’implanter bien à Bobo Dioulasso. L’absence de Salia faciliterait la corruption des petits conseillers et des autres maires. Cette stratégie est soutenue par Barry et ses paires, malheureusement. Il a été dit à la convention des femmes moutonnes du MPP « N’ayez plus peur, le CDP est tombé à Bobo. Seul le MPP domine, les plus belles femmes du Burkina Faso sont du MPP, les femmes les plus intelligentes sont du MPP ». Je ne sais pas qui l’a dit mais je suis sûr qu’il n’a pas toutes ses facultés ; Ce langage est digne des délires des petits toxicomanes et des nouveaux proxénètes. Mdrrrrr en tout cas vos femmes sont belles woooo, il y a des femmes « albinos circonstancielles » au MPP, il ya des femmes « salamandres » au MPP, il ya des femmes « tout couleur » et il parait même que vous avez des types de femmes très belles qui, juste au simple toucher, elles écartent les (…), ehhhhhh vous êtes chanceux woooo, Dieu vous a vraiment fourni en femmes.
Mdrrrrrrr!!! Tous ces chefs d’accusation contre Salia sont minuscules devant les milliards fêtés de Simon Compaoré, lui qui a été interpellé à 15h30mn et relaxé à 18h30mn. Rien n’oblige quelqu’un à croire que la transition est pro MPP mais seuls les « idiots » diraient le contraire. On permet à un maire pygmée de se justifier à la RTB pendant 30mn, on le laisse parler en désordre tout en menaçant la journaliste, on le laisse faire des déclarations lapidaires avec son visage de drogué, on enferme 04 jeunes sous prétexte que Simon les a reconnu pendant son agression du 07 Avril, ensuite il sort avec son visage de fantôme pour dire « venez me chercher je bois tranquillement bouillie de ma vieille femme », on fait semblent de l’interpeller à 15h30mn pour duper les gens puis on le relaxe à 18h30. Soubahanalayyy Dieu va vous punir ici!! Dieu va vous punir piannnnn. Dieu va punir Zida pour son infidélité envers le peuple, lui qui est complice de la fuite de Blaise Compaoré, lui qui charge discrètement des personnes pour faire des dons avec l’argent du contribuable au Balai Citoyen et aux autres OSC vendues, lui qui confectionne les tee-shirts pour les marches de soutien à la transition, lui qui fait la promotion des nominations de copinage, Dieu va te punir Zida!!! Tu trahis notre idéologie et Dieu va te punir. Maintenant il nomme les pasteurs… Mdrrrr je change de métier je deviens protestant peut-être que y’aura poste après pour moi.
La transition traine des casseroles, on le savait et on a dit nul n’est parfait. Michel Kafando traine des casseroles, on avance seulement. J’ai publié la veille de la mise en place du collège de désignation du PF un article sur ses malversations financières quand il était aux affaires aux USA. Le petit bandit de Zida en traine ; Lui qui n’a ni compte bancaire ni véhicule (selon sa déclaration) et lui qui a refusé de faire face à la justice, d’après le syndicat des magistrats. Tout ceci doit être mis au clair. Nous ne voulons pas des ministres déguisés en militants, chargés de l’implantation d’un parti politique. Ceci est un péché que tôt ou tard les intéressés payeront. Le MPP ne peut pas gagner ces élections sans une corruption en masse des leaders des autres partis car le MPP, en terme de taux d’implantation, n’atteint pas la cheville de l’UPC, ni du CDP. Laissez les gens aller librement aux élections et que le meilleur gagne. Libérez Salia Sanou, sinon vous allez en payer le prix fort. Pourquoi ce sont les seuls détenus de Bobo qui sont toujours en prison ? Le MPP pense avoir Ouagadougou donc il veut la ville de Sya et sa stratégie est celle que je viens de vous « dévoiler ».
A la jeunesse de la ville de Sya, évitez ce parti de poltrons et de traitres de la liberté. Sams’K a bien dit « Celui qui a bu, boira et celui qui a trahi, trahira ». Refusez la compromission des hommes qui ont fait la force de Blaise Compaoré. N’ayez pas peur de revendiquer, soyez sur vos gardes car un parti veut prendre par force le pouvoir et nous empêche déjà par des menaces de nous exprimer. Ce parti ne doit jamais être à Kosyam, et, ce parti ne sera jamais à Kosyam au soir du 11 Octobre. Pour cela demandez la libération de Salia Sanou et compagnie pour les empêcher de conquérir Bobo. La liberté n’a pas de prix et la compromission a toujours un gôut amer. Il n’y a pas de supers Burkinabé. Un maire qui dit toucher 190 000F et qui fête ses milliards n’est qu’un assassin, un vampire financier, un grand voleur. Les vrais voleurs doivent être arrêtés sinon libérez les prisonniers politiques. Nous ne voulons pas de justice partiale dans notre chère Faso.
Maintenant que mon jeune frère Souleymane Ouédraogo (Basic Soul) transmette mon message comme il se doit. Mdrrrrr comme c’est eux qui désignent maintenant qui doit être arrêté, qui est propre, qui est sale, alors transmets mon bonsoir à Zida et évites de manger sur la table du MPP. J’évite de m’attaquer au Balai Citoyen pour avoir porté ses couleurs, mais ça viendra et même assez tôt apparemment. Vous qui n’êtes financés par personne mais qui recevez des « dons » de tous les leaders, vous avez vraiment réussi votre vie wooooo. Entre un financement et un « don » il ya vraiment un pas. Mdrrrr le français est très élastique heinn!!!
Vive la liberté, vive la démocratie. Non Non, et Non au MPP et à ses complots. Nous sommes plus que jamais éveillés.
NOUS VOULONS UNE TRANSITION IMPARTIALE ALORS LIBEREZ LES PRISONNIERS POLITIQUES
NON A LA MANIPULATION DES OSC ET DES AUTORITES DE LA TRANSITION
VIVE LE CHANGEMENT, LE VRAI CHANGEMENT

LES TRANSITAIRES GALVAUDENT LE MOT PEUPLE

Le mot peuple dans tous les systèmes politiques concentrationnaires est dans toutes les sauces. Nos transitoires ne peuvent que s’en donner à cœur, eux qui confondent, peuple et rue, autorité de l’Etat et désordre, justice et chasse aux sorcières, scrutin démocratique et scrutin discrétionnaire MPP.

Sinon, le peuple est d’une vitalité pour tous les peuples du monde depuis les différentes révolutions, américaine et la française de 1789. La Révolution de 1848 est dite celle du peuple et les Burkinabè, peuple discipliné et patient, se sont épris aussi d’un évènement proclamé Révolution Démocratique et Populaire d’Août 1983.  Les insurgés payés et les autres, toujours désargentés, tentent de se rattacher à cet évènement comme à une légitimité. Alors, ils entonnent partout, la volonté du peuple, la loi du peuple, les exclusions voulues par le peuple que même quelques activistes comme le désinvolte inquisiteur national, Ibriga, professeur d’obscurités constitutionnelles, amoureux de Lénine, entonne. Le plus insupportable pour les républicains et les démocrates, c’est que le représentant de l’Oncle Sam au Faso, a mordu à l’hameçon des arnarcho-démocrates.

Dans une République, le peuple est le détenteur exclusif du pouvoir. Mais quand parle-t-on de peuple, puisque de lui seul découle la légitimité en raison du fait qu’il est le seul souverain. Les Révolutions au 18 ème ont érigé les vaillants peuples du monde en Souverains, là où les monarchies de droit divin, l’incarnaient. Mais la République, c’est d’abord, les valeurs de la démocratie, la souveraineté du peuple, l’égalité des citoyens et la liberté pour tous. C’est au nom de ces valeurs que Cicéron s’opposait à Jules César. Aussi depuis la conquête du suffrage universel, seul le vote libre, égal et secret permet de mesurer la volonté générale, majoritaire. Ce vote doit intervenir dans un processus électoral inclusif (ce n’est point le scrutin censitaire jadis en France ou discrétionnaire MPP en cours au Faso), transparent, équitable et crédible. C’est au bout d’un tel processus, que le juge constitutionnel peut valider ceci ou invalider cela parce que telle manœuvre frauduleuse aura été constatée, consignée par les observateurs, les partis politiques et par voie d’huissier commis par le plaignant.

Depuis quand a-t-on organisé un vote universel, transparent et équitable au Faso ? La dernière le fut pour l’élection du Président Blaise Compaoré, de l’ancienne législature et les municipales. Il est donc clair lorsqu’on est républicain, démocrate et de bonne foi, que la volonté majoritaire exprimée et sortie dans les urnes en 2010, violentée et renversée par les putschistes et poujadistes d’Octobre, est l’unique prise de poids de chaque coalition politique jusqu’à preuve du contraire. Personne ne peut aujourd’hui au Faso, se prévaloir de la volonté populaire. La République est morte, saccagée. Il n’y a pas de Président du Faso. Il n’y a qu’un Président de la Transition Révolutionnaire, imposé par les officines du doyen Ed. Ouédraogo et des comités chrétiens de base. La minorité révolutionnaire, dévorée et transie de vengeance, violente et révolutionnaire attardée, qui a pris le pouvoir par la force par l’organisation du désordre, est une minorité liberticide. D’ailleurs, elle viole la Constitution de 1991 pour mieux confisquer le pouvoir d’Etat en assumant sa vindicte abjecte.

La légalité républicaine est tout autre chose, chers compatriotes. La légalité républicaine est différente de l’arbitraire révolutionnaire. L’une est le produit du suffrage universel honnête et sincère tandis que l’autre est l’advenu d’une violente inouïe. Tôt ou tard, le Burkina Faso devra, pour renouer avec son passé de vaillance et de discipline, vaincre la peur des violents et Rétablir la légalité républicaine.

Bénéwendé Mahamoudou Kaboré

Bobo Dioulasso

MPP, VÉRITABLE PATRON DE LA TRANSITION!

Soulama

C’est « La » vérité à admettre sans faux fuyants, dans ce Burkina de la transition.

Une prise de conscience favorisée par les différents soubresauts vécus jusqu’ici, et dont l’accouchement a été possible grâce à la phase de convulsion que nous traversons depuis le 7 avril dernier, à la faveur du vote, puis de son adoption, de la loi modificative de notre code électoral.

Alors que nous aurions dû « tilter » dès le moment de l’interview accordée à Africa 24, dans l’émission « le Talk », par le SG du MPP Clément P. SAWADOGO, non, l’envie aveugle d’en découdre avec le régime déchu a altéré l’esprit de clairvoyance qui aurait pu permettre d’éviter le beau gâchis que nous venons de commettre.

Beau gâchis, parce que, vous le releverez au travers de la vidéo sur laquelle j’attire ici votre attention:

1) IL N’Y AURAIT PAS DE 30 OCTOBRE 2014 AU BURKINA, SI LES GÉNITEURS DU MPP N’AVAIENT PAS ÉTÉ MIS À L’ÉCART DE LA « MANGEOIRE » AU SEIN DU CDP, EN 2012.

Par voie de conséquence, la nature insurrectionnelle des événements d’octobre dernier naturellement s’en trouve remise en question!

Car même si des gens sans la moindre étiquette politique ont été des manifestants les 30 et 31 octobre 2014, les propos tenus par le SG du MPP Clément P. SAWADOGO dans le présent document audiovisuel, sont sans ambiguïté aucune sur la prédominance de l’intention qui a conduit à la commission des nombreuses exactions ciblées (pillages suivis d’incendies criminels de domiciles, de commerces, scènes de guérilla urbaine, etc…) relevées lors de ces deux journées de vive tension vécues par notre pays, dans sa capitale, Ouagadougou!

Sous l’instigation du MPP, la protestation du CFOP devant conduire au retrait pur et simple du projet de loi vivement disputé relatif à la modification de l’article 37 de notre Constitution, s’est transformée en un putsch, renversant le régime alors en place, pourtant démocratiquement établi!

L’on comprend du même coup pourquoi, d’emblée, en prévision du recours très prochain à la mise en oeuvre de l’alinéa 4 de l’article 25 de la charte africaine de la démocratie, des élections et de la bonne gouvernance, mais dans son acception totalement étriquée, il a été décidé, oui, que tous les membres de l’équipe actuelle de transition ne puissent aucunement participer aux institutions qui naîtront du retour à l’ordre constitutionnel normal, à l’issue de la présente transition!

La raison en est, et il faut le dire ici tout de go, que l’ordre ancien, mis en place par voie démocratique malgré ses tares décriées, venait d’être renversé de façon anticonstitutionnelle, un putsch maquillé en insurrection, qui fait que tous les membres de l’équipe dirigeante de la transition qui en a résulté, tombent sous le coup de l’alinéa 4 de l’article 25 de la charte africaine de la démocratie.

Wow! Sans conteste, la tactique offensive, en guise de moyen de défense, a été bien pensée par l’intelligentsia des frondeurs, appendices naturels ou circonstanciels du MPP!

Seulement, comme l’avait de son vivant averti, feu le Capitaine Thomas SANKARA: « On peut tromper une partie du peuple à un moment précis, mais on ne peut pas tromper tout le peuple, tout le temps! »

Parce que naturellement, passée l’euphorie de l’agitation post octobre 2014, forcément la lucidité finirait par nous gagner, pour nous interpeller sur le pourquoi et le comment de la situation transitoire actuelle!

Dans ce sens, la vidéo ci-dessous, remise au goût du jour hier par le jeune frère Lengha Fils, constitue du pain béni, dont on ne saurait se priver de scruter!

L’on y apprend alors par ailleurs que:

2) LA LÉGITIMITÉ DES 27 LONGUES ANNÉES DE RÈGNE DE Blaise COMPAORE, C’EST SUR LES GÉNITEURS DU MPP QU’ELLE A REPOSÉ, TANT QUE CEUX-CI ÉTAIENT TOUJOURS AUX AFFAIRES AU CDP.

Parce que, tenez-vous bien pour dit: LA LÉGITIMITÉ DU PEUPLE BURKINABE TOUT ENTIER, eh oui, APPARTIENT AU TRIO RSS!

Wow! Rien que ça!

Bien évidemment, l’on comprend pourquoi depuis l’entrée en dissidence des RSS, vis-à-vis de leur famille politique originelle le CDP, eh bien, le régime aujourd’hui déchu, qu’ils ont pensé et alimenté, en l’animant, est devenu subitement impopulaire, coupable de tous les maux de la terre! Rire.

Sérieux! Mais, de qui se moque – t – on?

Aujourd’hui sous la transition, les lieutenants d’hier des RSS au CDP sont traqués, coupables d’avoir commis des choses sous leur autorité directe, pendant que les répondants jouissent tranquillement de leur liberté!

Vive l’opération « mains propres »! N’est-ce pas, grand frère Ahmed Newton Barry? Rire.

L’on comprend parfaitement bien maintenant pourquoi, longtemps avant les événements d’octobre dernier, le premier vice-president du MPP, avertissait menacement qu’à l’accession du parti, au pouvoir, ses objecteurs ont intérêt à franchir nos frontières, pour se réfugier ailleurs!

Évidemment aussi, la victoire au quart de tour annoncée avec fracas, et défendue avec une si forte ferveur religieuse, se comprend maintenant sans trop de peine!

Ainsi donc, le MPP rusa pour récupérer le combat de l’opposition traditionnelle, à son propre compte!

C’est l’histoire du bourreau qui vole à sa victime, les bénéfices de son combat!

Rire, trop forts! Ils méritent d’être oscarisés, les RSS! Rire.

Alors, à bon entendeur: IDE KENG BALA (*)!

N.D.L.R: (*) = ALLONS SEULEMENT!, pour ceux qui ne parlent pas le mooré

Le MPP ne cessera de vous surprendre et de vous infliger des défaites

CaptureUn prétendu militant MPP du Zandoma, caché sous le nom d’emprunt de Sawadogo Arouna qui en réalité n’est qu’un inconnu de nos structures, se faisant passer pour un défenseur de Salif Diallo contre l’écrit du sieur Idrissa Nogo des Bales à publié un chiffon sur lefasonet.
Dans les faits, son écrit participe de la même veine et s’inscrit dans la continuité d’une méthode éprouvée dont le but est de semer des doutes dans les esprits des militants et sympathisants non avisés.
Ainsi donc vous espérer crédibiliser votre délation en vous positionnant au Nord natal de Salif que tentez d’opposer à son Président de parti.
Peine perdue.
Ça n’a pas fonctionné avant la chute du negus de Ziniare, ça ne prospera pas après sa fuite.
Des scribouillards comme Lingani Issaka et Zephirin Kpoda respectivement des journaux l’Opinion et l’Hebdo ont échoué avec fracas et vigueur avant vous
Votre piètre manœuvre ne mérite pas que je réplique par le même média car ce sera vous faire énormément d’honneur.
Le MPP ne cessera de vous surprendre et de vous infliger des défaites.
L’attelage RSS dont vos chefs en hibernation ont prédit trois mois de survie est celui qui a contribué à l’exil de votre dieu.

Crise ouverte au MPP .La candidature de Salif oppose ces partisans et ceux de Rock

CaptureMPP/Balé : Arouna Sawadogo répond à Idrissa Nogo
lundi 27 avril 2015 lefaso.net

Camarade militant, nous avons lu avec désolation votre long écrit sur des sites d’informations. Avec désolation, car le linge n’est pas du tout sale pour que vous le laviez sur le boulevard. Vous avez porté injustement atteinte à l’image du camarade Salif Diallo, en le traitant de tous les noms d’oiseaux, pire, par voie de presse.

MPP/Balé : Arouna Sawadogo répond à Idrissa Nogo
Ce que nous tenons à rectifier, c’est que l’on doit au Camarade Salif Diallo l’idée salvatrice de la création d’un parti politique fondé sur de véritables valeurs démocratiques, pour corriger les dérives de la maison initiale, le CDP.

Camarade Nogo, c’est par tolérance que Salif Diallo a effacé les torts commis à son encontre par votre parrain, en acceptant publiquement les excuses de ce dernier lors du meeting géant de Ouahigouya. C’est par humilité que le Camarade Salif accepte de travailler et de faire le tour du Burkina avec d’ailleurs plus d’engagement et de labeur que celui supposé être le principal bénéficiaire.

Au cours du congrès, lors des meetings, de la convention des jeunes, c’est le Camarade Salif qui a consenti le plus le sacrifice financier, pour ne pas dire qu’il supporte la quasi-totalité des frais. Le Camarade Salif est aussi l’idéologue, et le leader charismatique de notre grand parti. Nombreux sont ceux qui adhèrent au MPP grâce à la seule personne du Camarade Salif. Donc, souffrez qu’il intègre au parti celui qu’il juge apte à nous rapprocher plus de la victoire inévitable.

En plus, n’oubliez pas que le MPP n’est pas la propriété d’un seul individu et d’un candidat naturel comme le CDP et l’UPC. Le MPP, c’est le peuple en mouvement vers de meilleurs lendemains. Si fait que, vu le risque de voir la candidature de Roch invalidée par la Cour Constitutionnelle en application du nouveau code électoral, Salif Diallo peut se voir contraint de prendre brillamment la relève.

On est au courant de vos manœuvres, vous et vos parrains. Vos gesticulations et autres mesquineries n’ont pas de sens. Arrêtez la jalousie que vous nourrissez à notre encontre. Personne n’est né MPP. Nous sommes tous venus d’ailleurs pour former le melting-pot et faire du MPP le plus grand parti du Burkina.

Pourquoi ne remettez-vous pas en cause les autres grosses pointures qui atterrissent chaque jour au MPP par le biais de Salif ? C’est en continuant d’accepter les nouvelles adhésions que nous réussirons le quart de tour prédit avec prophétie par le Camarade Salif Diallo.

Sans rancune.

Victoire au MPP au quart de tour !

Sawadogo Arouna

Photo de Mouammar Djamahiria Kadhafi.

Militant MPP du Zandoma